mercredi 30 mai 2012

Sucer, lécher, déguster !

John susurrait des mots doux avec ses lèvres sur d'autres lèvres verticales. Le clitoris de Mary recevait son souffle léger entre deux halètements, entre deux petits cris. Elle se relâchait en totale confiance avec ses deux amis, déjà plus intimes, malgré cette amitié toute récente. Elle aimait la sensation offerte par cet homme entre ses jambes, qui lui donnait du plaisir, des sensations au féminin, sa sensibilité à elle, à lui était si proche. Il était toujours en pleine extase en dégustant encore son sexe, elle adorait sa présence, cette jouissance qui ne la quittait pas, et maintenant les mains sur ses seins.




Emma avait laissé le début à John, mais elle voulait aussi abusé de son hôte, lui montrer son envie de libertinage. Elle aimait ce jeu si sensuel,  pour faire sortir les pointes de seins de la belle, d'abord de sa wrapped dress rouge, puis d'un soutien-gorge corbeille en dentelle quasi transparente. Un rouge et noire non vulgaire, une merveille haute-couture de lingerie, qui valorisait la peau bronzée, les arrondis en trois dimensions. Naturelle, sa poitrine gonflait, tendait et remplissait le voile. Une lourdeur chaude, un volume de chaleur, qui imposait sa féminité, impériale rayonnement de courbes, et de tétons excités, tendus. Elle caressait chaque sein, soufflait sur les aréoles, humidifiait du bout de la langue les ronds, en insistant de nombreux cercles concentriques. 




Mary ronronnait, exaltait tous ses parfums, elle n'avait jamais été prise par un couple, conquise par deux généreux donateurs. Son libertinage était plutôt une quête, un tableau de chasse de mâles. Les exceptions étaient des partouzes chics ou quelques couples dont elle voulait dévorer le mâle, soumettre celui-ci à ses envies, en profitant de la sensualité offerte par la femme présente. Elle n'était jamais le faire-valoir d'une situation, elle était le désir, la bombe sexuelle pensante qui choisit sa proie, ses envies. Sauf ce soir !


Elle savait avant leur arrivée, depuis leur première rencontre, depuis les discussions intimes et arrosées avec Emma, depuis la soirée avec John, elle savait qu'elle perdrait pied. Elle se donnerait sans réfléchir, pour juste recevoir d'eux deux, du plaisir pur. 



Tout tournait autour d'elle, lui savourait ses cuisses avec ses mains, sa langue, ses lèvres aspiraient son clitoris comme jamais. Il créait un vide, et d'une langue encore là, dure, frottait, encore et encore, elle jouissait comme au paradis. Elle reculait dans le canapé, bloquée par les coussins, dévorée par ce bacchus infernal de douceur, toujours en elle. Et ses seins recevait des caresses, des doigts experts, comme des rêves, un massage parfaitement en phase avec son cycle de désir-envie-plaisir.


Mary tremblait, ils la mangeaient.


...à suivre...

JohnSteed 

4 commentaires:

pussy a dit…

Rires: j'adore la fin: "Ils la mangeaient"!!!!

C'est ce qu'on appelle le lâcher prise pour Mary, juste profiter du moment et ne penser qu'à son bien être extrème, un moment merveilleux!

Emma et John ne peuvent qu'être très complices pour croquer ainsi ensemble la belle Mary, une jolie histoire!

françoisedu80 a dit…

La robe a glissé vers le tapis offrant au regard les courbes délicates de Mary sous les dentelles .Les mains expertes et la bouche de Emma courent , gourmandent en étouffant les soupirs ,tandis que John s'attarde sur des lèvres gorgées de miel .
Délice sur canapé ...
Baisers

François a dit…

Les yeux fermés, Mary laisse certainement les milles sensations qui la transpercent la guider sur le chemin d'une jouissance si douce et si complexe. Le partage laisse place à l'extase, sans retenue, sans frontière. Absolument délicieux.
Bien à vous,
François.

Glande a dit…

bonita coleccion de fotos