jeudi 18 avril 2013

Double jeu entre ses bas nylon 4/6

Elle avait la tête en arrière, le sexe vertical et droit de John qui rentrait dedans. Sa bouche absorbait cette barre volontaire, cette envie de jouissance masculine. Il s'enfonçait, jouant des capacités de celle-ci à avaler, toujours un peu plus, à faire tourner sa langue autour, à sucer avec ses lèvres toujours rouges. 

Par instant, il touchait les seins sous la dentelle noire. John coulissa encore et encore, laissant venir sagement son plaisir, son jus vers elle. Il regardait son sexe lisse, ses cuisses et ses bas noirs qui se tendaient de belles jarretelles fines.




Il avait envie d'autre chose, en pur fétichiste, les détails, les envies de ces mêmes détails, lui apportait des frissons supplémentaires, une volonté d'explosion intense, mais calculée, du moins dans ces petites désirs. La bouche respira, il était ressorti. Il la guidait toujours dans le noir, sous son bandeau, elle ne devait que ressentir le lieu, jusqu'à quand ?


John la déshabilla sans la forcer, sans lui demander non plus. Elle se retrouva sans soutien-gorge, la poitrine plus molle, mais toujours femme, toujours fière de cette poitrine. Il retira le reste, tout en l'enveloppant d'un bustier underbust en satin noir. Sa taille se marquait, ses formes s'amplifiaient, elle sentit les liens se resserrer, un dosage juste. Ses seins furent accueillis par un tulle tout fin, un soutien-gorge de voile transparent pour montrer cette opulence voluptueuse. Il accrocha les bas noirs, avec de beaux motifs qu'elle ne voyait pas. Puis il lui passa un collant à grosse résille sur ses jambes, ses bas, ses jarretelles, son cul rond, enveloppant ainsi tout son corps dans un filet large. Il lui remit des escarpins qu'elle avait posé là.




Elle ressentait cet habillage, une sensation nouvelle, aucun homme ne s'était permis cela, le plus souvent ils demandaient une tenue sexy, sans précision, ils attendaient sagement. Mais là l'initiative était de cet inconnu, si sûr de ses choix. Savourer les matières était son seul acte, il lui servit à boire, quelques tapas à grignoter, puis la dirigea pour la mettre en position de levrette sur le lit. Elle comprit au bruit, aux lumières soudaines qu'il la photographiait dans sa féminité, dans sa tenue, dans ses courbes, elle se laissait faire, consentante, c'était elle qui avait demandé ce libertin pour elle.



Le plus naturellement du monde il lui glissa quelques mots à l'oreille, elle sourit en acquiesçant. Puis il lui glissa deux doigts dans son sexe, un doigt dans sa rondelle tendue. Le gel frais réveilla ses sens. John sourit en doigtant les deux orifices charnelles de cette belle épicurienne, de cette libertine consentante.

Entre les mailles de la résille, il ajouta un autre doigt dans son cul, ouvrant un peu plus ses fesses rondes marquées de jarretelles et du filet noir. Puis un troisième doigt entre ses lèvres, une main en elle, elle gémit, il continua longtemps, entre gel et attouchements intérieurs, elle enfonçait sa tête dans le lit, remontant un peu plus sa cambrure, son fessier roi aux yeux de ce gentleman doigteur.





Soudainement, il arrêta. Une pause, un silence !

Elle sentit alors un embout arrondi sur ses lèvres, un autre embout arrondi sur son étoile anale. Deux formes qui avec la même régularité se sont enfoncées en elle, en quelques mouvements, millimètre par millimètre, sans concession, il poussait. Elle a bougé, il a tiré son corset, ajusté sa position, et il les a enfoncé en elle. Deux plugs de latex, tout doux, de tailles raisonnables. Son Sexe avait absorbé son souci, ce presque sexe de latex. Son anus avait appris à s'élargir, depuis combien de temps avait elle été sodomisé, elle cherchait la réponse. Mais là maintenant, cet homme l'avait rempli de deux jouets de plaisirs, profondément ancrés en elle. Savourer encore !

Elle se cambrait, ressentait leurs doubles présences, une sensation qu'elle n'avait jamais eu en elle d'ailleurs. Deux sextoys dans ses deux orifices sensuelles !

Elle mit ses mains pour redoubler la dimension, comme pour vérifier son double ressenti, pour voir si ses lèvres avalaient, si son cul avalait aussi.






Il se positionna, elle le sentit devant sa bouche, il prit sa tête, la guida pour lui remplir aussi la bouche. John semblait insatiable ce soir, et il savait ce qu'il désirait maintenant. Il s'enfonça un peu plus.


... à suivre ...


JohnSteed

2 commentaires:

Lilly a dit…

Vilain suborneur! Vous me mettez en transe....
Bises sucrées (je viens de sucer un bonbon à la menthe)....
Lilly

sandra et mika a dit…

que dire de ses mots et de ses images !nous voilà trés émoustillés alors nous allons être obligé de te laisser pour d'autres occupations hihi ! hummm !