Elle était quasiment nue, avec
juste un collier, il la regardait, la dégustait des yeux. Elle était pour la
première fois, dans les mains d’un homme obéissant, et en même temps il s’occupait
d’elle, de son corps, de ce moment intime du déshabillage, de l’habillage. Un cadeau à manipuler, et manipulateur !
Il prit les bas de teinte clair,
une rose imperceptible , un satiné poudré, qu’il enfila en douceur, avec
précision sur ses jambes. Délicatement, avec une grande maîtrise, John profita
de chaque courbe, pour la caresser, l’observer en croisant chaque nouveau grain
de beauté, soyeusement en passant ses doigts à l’intérieur, longeant les
mollets, l’arrière du genou, le début de cuisses, tirant, corrigeant
naturellement le chemin de ce bas, de sa couture impeccablement droite.
Comment
faisait-il pour fixer cette ligne de nylon si parfaitement derrière elle, elle
avait jeté un œil , elle le voyait devant, souriant, et pourtant ce détail
était invariable sur toute la longueur de jambes. Magique. Elle se rappelait les propos
échangés avec Emma, sur le style discret de son John. Elle souriait de ces mots
si juste, quand la seconde jambe fût, elle aussi, enveloppé d’un bas nylon de
couleur blush. Elle lui remit ses escarpins à bride, avec la même sensualité
que la première fois.
Elle sentait son souffle sur ses
lèvres, il lui amena un macaron près de la bouche, sa langue sur ses lèvres
verticales. Elle croquait, il la dégustait, tenant avec humour ses deux bas du
bout des doigts. Elle avait son cadeau, des douceurs cachés, pas dans un papier
de soie.
Il continua longuement,
ressentant son corps, sa fébrilité, malgré cette position debout, de
domination, de supériorité. Elle l’avait pour elle.
Doucement il saisit le serre-taille, enlaçant ses hanches. Avec précision, lui dans une position collée à elle. Puis cette
combinette, capturée d'une main, il se releva, en libérant d’un souffle son bouton de délices, il passa
autour d’elle ce voile léger, une mousseline d’une finesse exceptionnelle, elle
adorait ces privilèges de féminité. Il glissa d’un geste chacun de ses seins
dans le balconnet très court. Précis, maintenant il accrochait les nombreux
petites attaches dans son dos, elle sentait ses mains descendre sur sa colonne,
un massage pointilliste, ses deux bras autour de ses hanches.
Un macaron
apparut devant sa bouche, combien avait il de mains, il avait disparu. Là
encore, il dégustait ses lèvres, elle mangeait le moelleux , dévorait les
arômes de framboises avec le citron vert.
Délices en haut, en bas !
...à suivre....
JohnSteed
3 commentaires:
Délice du nylon, délice de dentelles, comment ne pas imaginer Emma fermer les yeux et se laisser porter par les mille et une caresses de ces mains expertes sur son corps frissonnant. Vivement la suite...
Bien à vous,
François.
Des courbes attirantes
des lèvres gourmandes ,
ouvertes et sucrées ,
elle s'offre comme le macaron
sans résistance aucune sous ses mains expertes ,ses soupirs attentifs,sa gourmandise d'un autre parfum inconnu .
L'attendre en retenant son souffle entre la douceur rosée .
Baisers
Attendre et ressentir les contacts, les pénétrations ici et là !
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