jeudi 31 octobre 2013

Corset, Art & Musique

Quand la musique donne un sens à un manifeste artistique, avec le noir et blanc pour donner une tension particulière, des teintes en accord avec la révolution.

17 minutes de musique, de violence,  de dentelles, de résilles et de lingerie, de réflexion dans une ambiance fetish, un peu de cuir, de latex.

Une performance de Madonna :
Troublante ?
Etonnante ?
Affolante ?
Inutile ?
Ravagée ?
Délirante ?
Underground peut-être ?

Vous trouverez les mots pour la juger.




A bientôt







samedi 26 octobre 2013

Champagne pour tous ! 5/7

John s'enfonçait intégralement, la poussant vers lui, leurs regards commentant le plaisir de l'autre, sans bruit, leurs bouches autour de ce gode en verre. Daphné le sentait bien présent en elle, remplissant son sexe, s'arrêtant uniquement sur ses fesses, au maximum de sa course.






Il la pénétrait, elle le sentait pleinement, ses yeux l'exprimait, et Alex regardait cela, en bandant à l'intérieur du leggings en vinyl, savourant ce spectacle purement visuel, avec quelques à-coups dans sa bouche.. 

Leurs plaisirs étaient là dans cette position, dans ce scénario dont ils savaient que les limites, mais aucunement le contenu, les épisodes à venir. Ils devenaient les heureux consommateurs gourmets d'un menu gastronomique, façonné en sur-mesure, pour leurs deux corps, pour leurs esprits sensuels et pour cette forme d'amour qui les faisait fusionner. 



John ralentissait pour reprendre encore ses mouvements lents avec une fréquence différente, ne poussant que les lèvres, n'ouvrant que ce sexe sur quelques centimètres, pour sentir le jeu des petits muscles, pour voir le corps devant lui, ce dos, se cambrer un peu plus. Belle vision que les jarretelles fendant chaque fesse en deux, d'un satin brillant vers un bas tendu avec justesse, suivant la couture que chaque jambe. Son regard dégustait ce plaisir, son désir toujours renouvelé des bas nylon.

Elle bougeait maintenant son corps, son mont de Vénus faisait des mouvements de balanciers de bas en haut, emportant la chair dure en elle, la frottant différemment. Daphné connaissait cette présence, elle l'aimait tant, quand elle se remplissait de joies, de papillons d'émotions, de battements charnels, de tourbillons explosifs. Son corps la suivait dans ce relâchement, elle ne sentait plus que le jeu d'allers-retours, et elle dansait autour de cette queue, enlacée au fond d'elle.





Doucement John fît encore une chevauchée après une pause où ils les avait regardé tous les deux, sautant des courbes de Daphné à peine vêtue de lingerie fine, avec son collier de cuir, ses cheveux fins maintenant floutés par les assauts sexuels, vers Alex, enveloppé de sa tenue féminine, entre petite robe chic et leggings brillant, les talons. Tous les deux avec les yeux rayonnant de bonheur !

Il se releva, sexe droit, passant au-dessus d'eux, à quatre pattes. John apprécia la symétrie de leurs corps, passant de l'autre côté, regardant les yeux de Daphné, son sourire à la bouche pleine. Délicatement il retira le rosebud devant lui. Luisant des lumières de la pièce, avec son bijou jouant de ses reflets, un anus ouvert devant lui. 


John respira le parfum, Alex diffusait le même parfum que Daphné, il s'enfonça doucement, glissant dans ce bel orifice offert.

Il, elle, se cambra, au contact de son gland palpitant. Complétant ce trio de chair, de douceurs, de sensations, d'êtres totalement dans le désir de l'autre, pour un autre voie dans ce voyage voluptueux.


à suivre .....

Mr STEED

Si vous avez rater les premiers épisodes, les premiers mots, les premiers frémissements :


samedi 19 octobre 2013

Troublante

Comprendre le trouble d'un esthète, d'un voyeur face à des courbes, avec ou sans dentelles ?




Tiiu from Daemian & Christine



La semaine prochaine, la suite de votre histoire
"Trio & Champagne..."

Mr STEED




jeudi 17 octobre 2013

En attendant d'autres mots, d'autres jouissances

L'histoire continuera, mais il faut savoir souffler entre les cris de jouissance, alors je vous accompagne avec cette perle de musique, pour les yeux esthètes uniquement.





La suite du trio avec champagne, bientôt ...

Mr STEED


vendredi 11 octobre 2013

Champagne & Lien de verre 4/7

Reposant sa flûte sur un meuble moderne en laque blanche immaculée, John avança vers ses deux soumises, d'un geste bref il claqua le legging laqué de l'une, et saisit le collier de l'autre. Il revenait vers eux, il les dresserait ce soir, au gré de la nuit, les minutes passant sans être compter, favorisant l'oubli de repères, les emportant dans un réel lâcher-prise entre eux.

De ses mains, il dirigea Daphné vers le tapis, pour être à quatre pattes, face à son Alex, chérie d'un soir, créature équivoque et offerte à John. Leurs regards se croisèrent, il se donnait des signes d'amour dans ce jeu de soumission, car leur complicité était totale. Ce choix, cette soirée, ce don à l'autre les faisait fusionner dans la même approche des plaisirs.



John remit le gode en verre dans la bouche aux lèvres rouges, puis l'avança pour que l'autre bouche en avale aussi l'autre extrémité. Ils auraient pu s'embrasser en poussant au fond d'eux cette barre de verre. Ainsi leurs yeux pouvaient voir la langue de l'autre qui suçait avec envie, tout cela par transparence. Ils s'observaient, se jugeaient, s'apostrophaient en silence, en succions, en fréquence commune. Le lien était là, solide et enfoncé en eux.

John reprit le gode dans l'anus d'Alex, tout le tournant, en le forçant à se cambrer encore, testant un peu de profondeur, et d'un geste lent pour l'expulser en laissant la sensation de présence, encore bien là. L'étoile de chair hoqueta, le plaisir semblait remplir le legging, la jupette revint cacher les fesses lisses, l'ouverture.



Il remarqua sur  la table basse, une boîte ouverte, l'intérieur recouvert de satin bleu nuit, et là posés quelques rosebuds de toutes tailles. D'une main, il les soupesa, vérifiant les diamètres, mais aussi profitant des reflets sur le métal, sur les bijoux brillants pour leur finition. Vert émeraude, bleu saphir, rouge rubis, noir intense, ce couple savait habiller ses fesses avec goût. Le choix se fît pendant qu'il les voyait avaler ce témoin de relais, leurs bouches infatigables en action. Chacune défiant l'autre.

Passant derrière Alex il saisit le zip du legging, dégageant ses bourses lisses, il posa le bout froid du rosebud, observant la petit crispation des fesses, l'avertissement d'un acte prochain. John poussa un peu, ouvrant facilement cet endroit encore récemment offert au gode en verre. Quelques secondes et seul une aigue-marine d'un bleu clair brillait dans ce canyon de chair douce, les bourses reçurent un caresse, une tension se fît plus bas, sous le tissu. John posa sa main, serra et caressa encore.



Puis de l'autre côté de ce huit pattes, il vint derrière elle, abaissant le string, l'extrayant de l'entre-fesses, humide et fin, pour le descendre à l'orée des fesses. Une tension emprisonnant les cuisses sans vraiment être là car si fin. D'un  doigt expert, il tâta l'orifice, délicatement, mais d'une main sure, il enfonça son index, là.

Elle frémit, lui observait sa femme, cette bouche qui se relâche un peu, quelques centi-secondes. Elle se cambra, s'ouvrit naturellement. Là aussi, le métal froid fît son effet, forçant l'anus à se donner, forçant cette belle à se relâcher. Plus long, plus fin, le rosebud trouva sa place, et brilla à son tour d'un violet très lumineux.



Qu'ils étaient beaux car heureux de leur position.

John Prît son temps, posa ses affaires, avant de revenir derrière elle. Caressant ses bas ivoires, suivant la couture d'une main qui aurait pu écrire des mots. Légère comme son regard sur elle et lui.

Il voyait leurs têtes autour de ce verre en commun, il plia les genoux, et sans concession car il savait qu'elle aimait cela, sans aucune mise en présence, il enfonça d'un coup son sexe en elle. Profondément.


...à suivre ....


Mr Steed

Pour reprendre l'histoire depuis son début :


jeudi 3 octobre 2013

Champagne pour leur maître 3/7

Ainsi la soirée trouvait son espace, Daphné et Alex recevait leurs premiers plaisirs, se soumettait à leur libertin et maître d'un soir. Leur approche était commune, un lieu de vie sexuelle qu'ils partageaient suivant leurs envies, sans compulsion frénétique, mais avec une délicieuse régularité. Lui jouissait d'être déguisé, d'être l'objet au féminin de sa femme, mais elle aussi aimait se plier au jeu de la découverte de nouvelles sensations, de nouvelles règles douces, surprenantes voire choquantes. Tout cela restait un jeu sensuel, où les frontières avaient été partagées dans de longs échanges téléphoniques séparés avec John. Ainsi il savait où aller vers leurs désirs, il choisissait le chemin, les variantes et les fantaisies qui les feraient se tordre de bonheur intérieur, de jouissances intellectuelles. Seul lui connaissait le scénario, il avait juste donné quelques instructions.

Mais le plus noble des prochaines heures résidait dans la durée, dans l'intensité, dans les évidences devenant des doutes, dans les cris de plaisirs et les silences qui suivraient. Dans l'écoute de l'autre prenant , recevant, donnant, dans le partage du tourbillon de leurs soumissions.






John enfonçait dans la bouche de Daphné, ce gode en verre, observant les lèvres très rouges s'ouvrir, avalant les ergots de couleur, apercevant la langue tournant autour, et les yeux fixés sur la main ferme.

John enfonçait aussi de son autre main, le second gode sous cette jupette relevée sur les reins d'Alex. Celui-ci disparaissait dans l'échancrure de métal de la fermeture arrière de ce legging en vynil brillant. Une profondeur accueillante, un orifice gourmand qui avalait toujours les centimètres raides du verre, glissant dans ce cul si souple. 


Il s'arrêta, forçant la main d'Alex, la tête entre les cuisses de sa femme, la langue délicatement active, sans rien voir, juste imaginer, à tenir le gode dans la bouche au-dessus de lui.

De même  il força Daphné à continuer les allers-retours devant elle, pour les fesses de cette créature qui la léchait. Du bout des doigts, en pleine tension elle prit le gode en main, le poussa, attendant le retour glissant et naturel, puis repoussa encore.






John s'installa, prît une flûte avec quelques amuse-bouches, en bût doucement.

Dans quelques minutes, il allait varier cela, mais après avoir pris des photos d'eux. Délicieuse sculptures de chairs, de nylon, de sexe.



...à suivre...

Mr Steed , maître d'un soir