jeudi 30 mai 2013

Envie de bas nylon, envie de jouir, envie d'elle !

John passait de longues journées devant son clavier, entre les projets, les dossiers, les rapports, les emails avec les clients, et plus encore pour écrire des articles et un livre. Douze heures, quinze heures parfois quand la source sans fin de voyelles et de consonnes s'emballait dans son flot jusque tard dans la nuit. 

Mais là, il avait appelé sa complice, ne lui proposant pas, lui imposant totalement des envies. Sur la route, durant le trajet, il avait reçu encore des messages, des commentaires de la part des lectrices et lecteurs sur ce futur livre, cela resterait un secret, une surprise pour tous. Il souriait car il avait sauvegardé les pages, et surtout il prenait une pause, enfin !



Il grimpa les quelques marches, sonna, entra car il avait la clef de chez Emma. Elle était radieuse, toujours et totalement féminine, sans jamais de sexy débordant, encore moins de vulgarité, mais de la sensualité et des touches fortes de volupté. Chemisier et lingerie en transparence, jupe justement courte, sagement élégante, des talons avec larges brides sur ses fines chevilles, des bas nylon plumetis sur ses jambes. Les déclinaisons multiples de douceurs formaient leur univers dès qu'ils étaient de nouveau ensemble. En suivant le couloir, ils arrivèrent dans son salon, de la musique, une lumière diffuse, des chocolats sur la table, du thé, et d'autres objets qu'il avait demandé. Il m'embrassa très fort, pour frotter ses muscles sur ses seins, pour l'envelopper de son odeur. Il voulait s'imposer comme le mâle dominant de cette soirée, marquant de son parfum les lieux, et plus encore sa proie.




Elle le dégustait des yeux, elle savourait cette prise en main ferme. John souleva rapidement sa jupe trapèze, caressant les attaches des jarretelles, caressant la chair douce du haut des cuisses, caressant encore le soyeux du revers des bas. Sans ménagement, il tira la culotte sur le côté, il glissa un doigt pour situer les lèvres, et d'un geste souple il enfonça la tête d'un gode, là, juste là. Emma n'avait rien vu venir, elle soupira, il enfonça après quelques allers-retours, l'intégralité du sextoy en elle, profitant des humides facilités présentes. Et relâcha la culotte, tenant ainsi le jouet long dans son sexe.





Toujours sûr de son envie, il dirigea Emma vers le canapé, lui sourit en soulevant son visage vers le sien, puis tendit son sexe raide, conquérant vers la bouche. Il voulait être sucé, sentir sa bouche rouge, voir son gloss rouge déborder sur les alentours de sa peau lisse, libre de toutes caresses et léchouilles. Emma prit le sexe entre ses lèvres, intégralement, plus vite qu'à son habitude, car elle devinait son désir.

Sa liberté fût de soulever, de peser avec délicatesse les bourses, de les lécher encore, cette peau si fine en contact avec ses lèvres, elle aimait, il haletait. Mais il la dirigea de nouveau vers sa barre de chair, il voulait plus de profondeur, de titillages de lèvres, encore plus de sa langue experte, souple parfois pour longer son extrémité sensuelle, ferme quand elle tapotait le gland, contournait. Elle l'aspirait, il adorait avec des râles plus marqués.





John tenait sa tête, profitant de la douceur de ses cheveux, mais respectant la longueur en contact en elle, il se laissait aller. Il allait se libérer d'une trop forte pression. Il savait qu'elle serait sienne pour la soirée, pour des folies et des douceurs toutes aussi extrêmes. Il pensait à la tension dans la culotte d'Emma, à ce gode enfoncée, la possédant, il voyait son sexe en elle encore.

Elle leva les yeux, insista sur ses succions, il jouit en elle, pleurant de joie.


Mr Steed


jeudi 23 mai 2013

Abuser de ma volupté

Emma avait eu une semaine professionnellement éprouvante, et elle avait retrouvé son cocon. En rentrant, elle n’avait pas eu le courage de se changer, elle avait gardé sa tenue de jour. Un semblant de dîner rapide et puis, son salon, son canapé. La nuit froide et de brouillard d’hiver dehors, une lumière tamisée et la chaleur chez elle. Elle avait mis de la musique, elle en avait besoin, des notes de jazz autour d’elle, la suavité de la voix et des notes de Diana Krall, son dernier CD, une merveille à déguster encore et encore, avec une si jolie pochette, avec la belle en porte-jarretelles. Pour l’instant, seule. Elle l’écouterait avec John, bientôt, quand il serait là, à nouveau.




John s’était presque évaporé depuis quelques jours. John était peut être parti au loin pour son travail, lion conquérant et flamboyant, ou était tout près, pour autre chose, lion blessé, souffrant, soignant ses blessures loin du monde. John avec sa sensibilité hors du commun, sa personnalité ne souffraient pas de demie-mesure, il était entier dans un monde de faussaire, de fielleux.


Mardi, il était passé chez elle, en son absence. Il ne le lui avait pas dit, elle n’avait pas trouvé de mot, juste son parfum. Et simplement un livre et une pochette de bas nylon, posés sur son lit. Depuis, il ne répondait pas à ses messages ou à peine, un seul mot, de temps en temps. Ce n’était pas la première fois, le fauve passionné avait besoin de s’isoler de temps en temps, ce ne serait pas la dernière. Emma l’acceptait, d’ailleurs était-ce le mot, car c’était comme cela, cela faisait partie de John. Elle se questionnait, y pensait mais savait que c’était ainsi.



Emma était allongée sur son canapé, bercée par la voix de la belle Diana Krall. Elle s’était enveloppée dans un plaid de cachemire, un moelleux sans égal, récent cadeau de son homme, son mâle par procuration. Elle lisait tranquillement, découvrait page après page ce roman inspiré et sensible que lui avait laissé son gentleman. Un livre qui se révélait toujours plus extraordinaire avec l’avancée de la lecture.

La soirée commençait, elle entendait un peu d’agitation dans la rue, ceux qui sortaient , ceux qui allaient au restaurant, au cinéma, c’était l’heure, c’était le moment. Pas pour elle.

La sonnette de la porte d’entrée de son appartement la tira tout à coup de son voyage romanesque. Elle s’étonna, se demandant qui pouvait sonner à cette heure-là, et surtout pourquoi à la porte, et non à l’interphone. Peut-être un voisin. Elle alla ouvrir et eut la surprise de voir John.



John avait la clé de chez elle, et entrait chez elle, comme il le faisait en elle, librement et au gré de ses envies. C’était la première fois depuis qu’elle lui avait donné cette clé qu’il sonnait, qu’il attendait que ce soit elle qui lui ouvre la porte. Nul besoin de mot, elle comprit tout de suite.

Elle l’accueillit en l’embrassant, en l’entourant de ses bras, juste deux mots, les seuls pour l’instant.

- Bonsoir John.

John lui répondit par un regard.

Elle lui prit ensuite la main pour le faire entrer, le précédant dans le couloir menant au salon, puis l’entraînant sans un mot vers sa chambre. Ils se déplaçaient lentement, sans précipitation, le temps évoluait au ralenti , comme si les choses se mettaient en place toutes seules, comme la mécanique inexorable de l’univers. Elle savait qu’ils ne parleraient pas, ils n’en avaient pas besoin, pas en cet instant, toute parole était inutile.

Emma prit le sac de John et le posa dans un coin. Emma s’attarda pour admirer un instant la stature de son gentleman, cette allure qui la bouleversait à chaque fois qu’elle le voyait bouger, qui lui provoquait une onde de chaleur dans le bas du ventre. Elle ouvrit le lourd manteau d’hiver de John et l’en débarrassa. Avec l’élégance de son habillement habituel, son costume rayé, une cravate en soie toujours raffinée mais sans ostentation, elle était face à lui, si grand. Elle promena ses mains sur sa poitrine, touchant le coton délicat de sa chemise, sentant la palpitation de la peau si douce qu’elle adorait caresser en dessous.



Comme elle l’avait fait du manteau, elle fit glisser sa veste, puis relâcha le nœud de sa cravate. Ses gestes habituellement malhabiles amusaient John qui, impatient, venait le plus souvent à son aide, mais là, Emma sut trouver des gestes précis et doux pour déshabiller son homme. Elle défit lentement les boutons de sa chemise, posant sa bouche sur la peau découverte dont elle savourait la chaleur, cette odeur qui lui avait tant manqué, même depuis seulement quelques jours. John se trouva torse nu, elle en  profita scrutant son corps, anodin, lui disait-il, mais elle aimait cette carrure dans laquelle elle aimait se fondre, se perdre, se sentir enveloppée.

D’une pression de la main, elle incita John à s’allonger sur son grand lit et continua à le déshabiller. A présent, il était totalement nu , elle totalement habillée. Il était allongé sur le dos et elle le contemplait, le dégustait avec les yeux, le caressait du regard. Son visage ce soir si sombre, ses larges épaules, son torse si masculin, ses hanches un peu plus étroites, son sexe si doux, lisse pour sa bouche et ses lèvres, ses jambes longues et sobrement musclées. John, son gentleman passionné et flamboyant, s’abandonnait, se laissait aller vers elle, totalement, absolument.



Elle ne le quittait pas des yeux et elle se mit à ôter ses vêtements à elle également. Elle enleva rapidement jupe, chemisier pour n’être plus vêtue que d’un soutien-gorge de dentelle et de satin gris perle et d’une fine
culotte assortie, et de ses bas. Emma le rejoignit sur le lit, juste contre lui.


Elle se pencha sur lui, et elle parcourut son visage avec des baisers, des centaines de baisers effleurés, caressés, déposés dans un souffle, sur sa bouche, sur son front, sur ses tempes, sur ses paupières fermées.

Les lèvres d’Emma devinrent toujours plus gourmandes de la peau, du corps de John, et tout en continuant à le déguster, à le goûter, elle dégagea ses seins de son soutien-gorge pour le caresser de toute sa volupté, de sentir la peau de son gentleman sous la pointe de ses seins, la peau de son ventre à elle s’épanouir dans un frisson délicieux au contact de la peau de son ventre à lui.

Pendant un très long moment, elle caressa ainsi tout le corps de son homme, voluptueusement, tendrement. Sa bouche embrassait, caressait, léchait, parfois mordillait et la douceur de ses courbes de femme épousait les lignes de ce corps masculin, peau contre peau, ne pensant plus à rien, sauf à lui donner du plaisir , à l’envelopper d’une douceur infinie et intense. Une rencontre, une fusion dans un feu de douceur, dans un plaisir diffusé peu à peu, étincelle après étincelle. 





Emma avait envie de son homme en elle.
Elle s’agenouilla entre ses jambes, le regarda, il avait les yeux fermés, amplifiant les sensations. Soyeusement, elle effleura de ses doigts légers le sexe dressé de John, puis approcha sa bouche lentement, savourant son envie. Elle le caressa de ses lèvres, à peine un contact puis doucement, lentement, elle le prit entre ses lèvres, dans sa bouche, profondément, l’avalant, le suçant, le dégustant. Elle aimait avoir son homme en elle ainsi, elle s’était enivrée depuis tout à l’heure avec l’odeur de sa peau, elle savourait son goût, unique, particulier. Totalement éprix, elle le sentait glisser dans le plaisir, bouger ses hanches au rythme de sa gourmandise à elle. Emma jouissait ainsi de son plaisir à lui, de son plaisir à elle. 


Emma ralentit le rythme de sa bouche, et tout en douceur, abandonna le sexe de John. Avec délicatesse, elle se pencha à nouveau sur lui, et elle le caressa avec ses seins, le mettant au creux de sa volupté, il gémit, goûtant cet écrin tiéde et velouté, entre ses seins. Elle bougea doucement en sentant monter le plaisir de John, provocante elle voulait sentir la jouissance de John sur ses courbes, sur sa peau. Elle continua ce mouvement qui semblait délicieux à John et sentit une vague liquide de chaleur sur elle. Gourmet, il lui donnait sa crème, elle le recevait. Le temps s’arrêta à nouveau.





Puis Emma entoura simplement John de ses bras.



Mots d'Emma
Mise en Images de JohnSteed

mardi 7 mai 2013

Encore quelques mots sur elle

Ce soir, il avait débranché son téléphone, mis en silence ses mobiles, oubliés sous deux piles de livres. John cherchait une inspiration qui lui permettait d'écrire encore, de combler page après page le squelette de cette histoire pour lui donner une forme, une silhouette humaine.

Chaque paragraphe devenait un muscle avec le point final, avec les bas nylon qui enveloppait aussitôt cette jambe, cette cuisse longue avec ce creux longitudinal qui creusait imperceptiblement la longueur de ses muscles, dans une beauté spectaculaire. Il écrivait et donnait vie et formes à ses personnages, il leur donnait des mots, et au-delà encore des paroles dans leurs échanges. Des corps-à-corps dont certaines amies lui demandaient l'existence, le moment vécu et dont il répondait que seule l'imagination était la source.

Il décrivait une guêpière de dentelle jamais croisée, mais si vivante.




John était épuisé par ces derniers jours, ces dernières semaines, car la pression était immense, les moments de douleurs aussi. Il souffrait face à ses douleurs internes, leur intensité pouvait parfois lui couper le flux de mots, alors il se reposait, essayait de trouver le sommeil avec des rêves imposés, des bas nylon, des guêpières, des femmes qui jouaient ensemble, des mâles conquérants, ou simplement un repas, une dégustation de bons plats. Il ne vivait plus que pour ce roman, donnant ses forces, donnant son corps et les doutes dans ce support encore flou. Emma, d'autres amies, d'autres libertines l'avaient contacté mais il ne pouvait donner de plaisirs à ses belles, son physique frôlait le vide. Il ne pouvait partager de moments, de paroles, car sa concentration le retenait.







Il ne voulait mêler de plus les rêves érotiques et charnelles, parfois profondément fétichistes, parfois même délirants et sournois de son duo de héros, cette femme et cet homme, avec les désirs des autres, avec un paradoxe différent de ses propres envies. Il était un simple pousseur de mots, un homme bien plus commun que l'image idéalisée de ses lectrices. Il n'était pas son héros, jamais il ne l'avait été, ni même un instant souhaité, et encore moins en transfert vers ses chapitres. Il écrivait facilement certes, des lignes et des lignes érotiques, pleines de volupté, mais cela n'était qu'une cuisine gourmande par un gourmet.


Trouble, c'était le mot qui accompagnait le sensuel, le prochain chapitre qui donnerait la main, les doigts, le sexe à son corps, à ce livre, à cet enveloppe de chapitres et de phrases trop longues, à ces jouissances virtuelles, mais aussi à sa fatigue bien réelle. Tout se brouillait tout en s'organisant toujours plus et en remplissant les pages.





John n'avait finalement ouvert qu'à une femme, leur relation était  bien plus complexe que le jugement des autres, et  les cases associées pour ranger celle-ci. Elle était là, devenue ombre derrière son obsession, sa noyade dans l'océan des mots. De temps à autre, elle lui fournissait du thé, chaud ou tiède, des litres depuis des jours, en glissant aussi des mets qu'il ne touchait à peine, ce sens gustatif étant devenu annexe. Elle le couvrait quand il s'endormait sur son canapé, là, épuisé de donner ses mains à cet ouvrage, son esprit avec.

Elle se lovait près de lui, lisait, dormait, le suivait dans ses respirations, sa folle course sur cette silhouette.





Hier, il avait fait un arrêt, tranquillement, il avait accepté d'être sucer, d'exploser dans sa bouche, de s'écrouler comme dans un point final à un grand chapitre. Puis il avait pris son stylo-plume, délaissant son clavier, pour écrire sur sa peau, des mots doux, sur son dos, il serait le seul lecteur, le seul écrivain de ce texte court.

Défaisant une des jarretelles, écrivant sur la cuisse, remontant le nylon dessus.

Puis là, sur ce mont tout doux, chef d'oeuvre de douceur ultime. Encore quelques mots.



Elle avait dormi devant lui, ainsi peu vêtue, juste quelques transparences, quelques mots sur sa peau intime, et il avait repris son roman, le clavier et ses cliquetis dans la nuit.



M. Steed

Chères lectrices, chers lecteurs, 
Je vais être potentiellement moins présent, actuellement très pris par diverses activités dont l'écriture d'un livre (là encore un univers de mots). 

Merci de votre fidélité (100.000 pages vues)
MERCI ... laissez vos commentaires, cela donne plus d'interactivité entre votre lecture et mon écriture.

vendredi 3 mai 2013

TAG by Calamity

Un premier tag, et voilà que c'est l'avalanche. Non pas de livres mal entassés de mon bureau et boudoir, mais bien un second tag par la délicieuse Calamity du blog LUXURE & Co.




Une nouvelle série de questions, mais je m'arrêterai sur celles-ci sans en proposer d'autres, sans nommer d'autres joueuses ou joueurs, votre liberté, je respecte.

Les questions de Calamity sont : 
1.Combien de fois avez vous aimez?
La même femme ? ou les différentes femmes de ma vie, voilà une vraie indiscrétion. Car en étant totalement "in love" comme adolescent et jeune homme, avec le recul, je pense que ses amours-là n'étaient que des sentiments allégés, des ersatz affolés par les hormones.
4 femmes uniquement et j'ajouterai définitivement la 4e (et dernière).

2.Quelle est la pratique sexuelle dont vous ne pourriez vous passer? 
Le cunnilingus, dois-je expliquer le plaisir que cela procure, que cela donne, les parfums et les douceurs de ce contact ? Lisez certains textes de ce blog, ils se noient entre deux jambes.

3.Quel cadeau feriez vous à votre amant pour son anniversaire?
A ma maîtresse et compagne, ma chère Calamity ! Je ne peux le dire ici car elle va lire cet article, et cette année la surprise dépasse les rubans du papier cadeau. Un présent qui la fera pleurer de joie. Et je vais alors lui tendre mon épaule. 

4.Votre lieu préféré pour vos ébats? 
Un lit, un cocon qui est à nous, juste à nous, pour s'aimer, parler, câliner, vibrer, se serrer l'un contre l'autre.

5. La chose qui vous rebute chez un(e) partenaire?
L'inélégance, tant dans les paroles, les actes ou avec ses poils pubiens.

6. De quel accessoire sexy aimeriez vous user?
Abuser de la voir en corset, jarretelles et bas nylon !

7. Votre plus grande frustration?
De ne pas avoir encore fini le livre en cours d'écriture, je vois déjà le dernier chapitre, la conclusion, mais quand vais-je arriver enfin à cette fin.

8. Qu'est ce qu'une belle relation pour vous?
Un duo de personne, qui dès qu'ils se retrouvent, forme alors une bulle autour d'eux, de douceur, de câlins, de coquins échanges, de dentelles et de gourmandises, de paroles et de sourires. Juste s'aimer ! Seuls au milieu d'un monde fou, seuls et simplement heureux.

9. Quel animal vous représenterait le mieux?
Elle dirait probablement le lion, je pourrai dire le chat, ce sont deux félins.

10. Qui symbolise l'érotisme pour vous?
Moi, moi, moi ... à ses yeux ;-)))))
Betty Page !

11. Si vous aviez le droit de choisir un talent, lequel choisiriez vous?
Celui de savoir écrire.
Non, celui de savoir jouer du piano jazz !



BISES chère Calamity, et si vous répondiez à vos propres questions !!!