dimanche 28 février 2016

Briller 3...


Dans les petits cris et avec les craquement des bûches en flamme, dans la chaleur des ébats, John jouait des instants calmes, son sexe en elle, pour mieux reprendre son élan, ses lentes pénétrations vers des chevauchées plus fougueuses. Son gland humide poussait les lèvres fines, les écartaient, s'arrêtait, attendant le ressenti de cette belle inconnue jouisseuse.

Ils n'avaient quasiment pas parlé, savourant leurs silences pour ne communiquer qu'avec leurs chairs, cette dernière s'ouvrant un peut plus, s'offrant sa détermination, au plus profond d'elle. Ses couilles claquaient contre son mot de vénus, ballotant les deux peaux lisses, frottant, abusant des sensation intérieures et extérieures mêlées. John attendait que son instinct mais plus encore que son esprit accumule un summum de plaisirs, celui de ses yeux sur les courbes, les hanches de cette femme-cadeau, celui de ses doigts sur la peau des hanches, sur et sous les dentelles ou le voile des bas nylon, celui de son corps enfilé dans un fourreau de soie charnelle. L'apogée de sa jouissance, il montait encore dans ce tourbillon énivrant.


La porte d'entrée marqua le silence, suivi d'un léger souffle dans l'âtre, les flammes vacillantes. Sans bruit, sauf celui de leurs talons sur le parquet, Emma apparut avec Mary. Deux élégantes, deux créatures bottées, nylonées entre cuir et dessous de jupes très courtes, toutes deux avec un trench court, il stoppa au fond de celle qui babillait des mots de désirs et de plaisirs, les observa. Deux sourires, quelques mots, Mary se pencha vers l'oreille droite du cadeau, lui ordonnant de la suivre pour d'autres envolées de soumise, pour d'autres dégustations.

Emma avait déjà déposé son trench rouge, sa petite robe noire, si courte, ne laissant que sa guêpière brodée de dentelles noirs sur un fond gris pâle, sa culotte déjà dans la main. Un dessert après leurs repas au restaurant, john devait être cette touche finale. Ils s'embrassèrent, s'enlacèrent jusuqu'à la chambre blanche, un lieu d'une sobriété bourgeoise, froide dans ses couleurs, chaude avec ces matières nobles. Sur la moquette onctueuse, Emma retira ses cuissardes, proposa à John un délice, en se posant sur le coin du lit de soie blanche, pour retirer ses bas. Des attaches en passant par les cuisses, l'arrondi des genoux, des mollets, l'angle des chevilles, il déroula le fin voile, ne saisissant que le soyeux fluide coulant entre ses doigts. Caresses sur sa peau si douce, finement parfumée de senteurs qui signait sa présence, mais aussi celle de ses hormones, de ses envies, il lui retira aussi sa guêpière, libérant ses seins ronds, lourds, si vrais dans leurs rondeurs pulpeuses. Un sourire, sans tro de mots, des lèvres qui s'écartent pour communiquer avec uniquement les yeux, leurs sentiments, leur amour. D'un geste, de ses deux bras nus, il la porta entre les nombreux oreillers blancs, moelleux et unguineux. Nue, Emma tendit son bras, écarta ses cuisses, sourit avec un regard pleinde luxure. D'un doigt, elle enroula une fine cordelette, là, entre ses lèvres lisses, humides, brillantes.

D'un geste ferme, elle tira vers lui, ouvrant l'équerre de ses cuisses, offrant une première boule dorée, luisante d'envie. Une seconde, imprégnée de ce désir, elle lui expluiqua depuis quand dans cette soirée, elle savait qu'elle ferait cela, devant lui, pour lui, pour l'avoir en elle.

John l'embrassa plus fort, forçant sa bouche avec sa langue. D'un bras libre et sûr, il saisait un collier de perles posé sur la table de nuit, l'enroula autour des poignets d'Emma. Ne lui laissant aucun échappatoire, une voie à sens unique vers la jouissance. D'un mouvement, il s'enfonça pleinement en elle, dans un seul cri double. Ensemble !





à suivre ....

Mr STEED





dimanche 31 janvier 2016

Briller 2...

Les doigts s'enfonçaient régulièrement en elle, explorant ses lèvres, l'intérieur chaud de son sexe, frôlant le bouton de ses plaisirs, John s'arrêtait, reprenait doucement, vite, doucement encore. Car s'il dominait cette inconnue offerte devant lui, il écoutait aussi les vibrations de ce corps soumis.

Son relâchement après des cris qui s'emportent, après le mouvement mou des cuisses qui ne soutiennent plus rien sauf la jouissance. Sa main ruisselait de ce bien-être humide, de ces égarements complices. Toujours sans un mot, sans la connaître, sans s'être présenter. Elle savait sa position de cadeau, que son corps serait offert aux folies charnelles de ce gentleman, Mary lui avait parlé de lui, de ses caresses sublimes, de ses profondes envies et puis de ses jeux experts sans limites. Elle avait dit oui, convaincue par les lèvres envahies de baisers de Mary, prête à se donner intégralement.


Elle respirait, ses deux mains sur sa nuque, sa croupe offerte, la musique new wave dans cette grande pièce, les pas sourds de cet homme, ses doigts lui manquaient déjà. Et il dézippa sa combinaison de latex, lentement couvrant de bises et de douces claques ses fesses, ses cuisses, ses jambes, son dos. L'enveloppe chaude la libérait, elle bougea, le bandeau de cuir toujours sur ses yeux. Aveugle pour mieux ressentir avec les autres sens. Tactile, il l'était, il s'amusait de la dentelle cachée sous le latex, passant deux doigts ici sous le satin de son porte-jarretelle, deux doigts autour de son rosebud. 





Il la releva, la guida vers une autre pièce. Du bois, du parquet sous la finesse des bas nylon, une autre chaleur, un feu de cheminée, elle resta droite, perdue dans l'espace, sa silhouette offerte aux yeux gourmets de son hôte. Sans un mot, silencieux, plus de musique non plus, il effleura ses jambes, avec dix doigts délicats, sur et sous le fn voile, s'égarant sur ses lèvres impeccablement lisses. Des cuisses jusqu'à ses chevilles légères, il cajola sa peau, cette seconde peau. Puis avec courtoisie, il lui passa des escarpins très hauts, l'aidant à trouver sa position nouvelle, perchée à quinze centimètres. Fixant les brides, il s'offrit encore un jeu de sensations, avant de la repositionner en levrette idéale.

Là, sagement, avec deux doigts, puis trois doigts, puis un pouce sur le rosebud, il rappela sa présence, tapotant ses arrondis arrière. tirant parfois sur les nombreuses jarretelles. Il l'enfila doucement, avec habileté, sans concession, profondément, pleinement. Un sexe large, de nouveaux petits cris, du bonheur à quatre pattes, en caressant les deux coutures du talon vers le revers soyeux.


... àsuivre


M. STEED