lundi 21 mai 2012

Juste avant cette soirée




Emma avait affiché son envie, et John l’avait comblé. Remplie, totalement remplie de son envie, profondément ancré en elle, en tenant ses hanches, pendant qu’elle tenait sa robe au-dessus de ses fesses. Une gymnastique debout, entre la nature environnante brute, et la sophistication des talons fins, des bas en voile argenté, un gris brillant très clair, et là, figées dans les deux rondeurs, derrière, les quatre jarretelles noires s’envolaient sous les plis de tissu.




Il donnait un rythme fort, renforcé par les claquements sur son fessier, deux peaux gourmandes en contact, en pleine embrassade profonde.


Elle recevait en souriant, contente d’apercevoir encore son string de dentelle posé sur le tableau de bord. Ce petit détail qui provoquait de grands élans jouisseurs. Il la bouscula encore une fois, si rapidement, si animalement, elle aimait cette fougue sous le costume.






Il jouit en elle, la chaleur liquide fût si puissante, qu’elle en sentit la sensation, le choc dans son entre-jambe.

Elle se tourna, lâchant sa jupe sur ses reins, fluide sur sa cambrure, elle l’embrassa goulûment.

« Cette soirée commence bien, mon cher ! » elle changea la musique, avec un morceau de Barry White, un velours grave de soul, pour descendre les courbes vers Paris, vers la Seine. Emma avait alors ce sourire carnassier et charmeur. Elle devenait la femme la plus insaisissable de la ville, sereine de vivre librement avec son corps, de décider de ses jouissances, de ses amours et de ses envies purement charnelles. Féministe par sa volonté d’assumer son rôle de citoyenne, de responsable, de décideuse pour le business, elle était aussi femme libre. Libérée dans sa sexualité, hors des codes hérités autant par l’éducation que par la religion, mais encore plus par la morale et le regard des autres, elle ne souhaitait ne rien cacher, ni ne rien afficher. Mais encore plus elle n’écoutait pas les discours de normalité incongrue, venant de personnes en mal d’imagination sur sa réelle vie, en manque de jouissance dans leur propre vie. Comment pouvaient-ils juger ? savoir ? comprendre ? là où chacun s’offre des chemins variés, des combinaisons charnelles, dans un respect soyeux, mais avec des limites adaptées à chacun. Elle en souriait, elle savourait cette chaleur de lui en elle.





Emma roulait, John avait sa main sur sa cuisse, avec cette subtile sensation de la poser juste sur une jarretelle. Il adorait cela.


....à suivre....

JohnSteed 

4 commentaires:

sixofthebest a dit…

This naughty woman, was caught speeding along the highway, so the traffic policeman, ordered her to be caned on that voluptous bare bottom of her's 'six of the best'. The corporal punishment scene, is made even more sexually erotic, because the erring female, is wearing suspender-belt and stockings.

pussy a dit…

Un moment charnel et délicieux, un moment hors du commun, la soirée s'annonce bien, très bien, à suivre...
J'imagine déjà la suite...

françoisedu80 a dit…

Envoûtante Emma , femme jusqu'au bout des ongles , libre et follement attirante , goûtant tous les plaisirs de la vie !
Baisers

Isa a dit…

Brut est le désir d'Emma de sentir son homme en elle
Brute est la façon dont John la comble, la profondeur de son envie de se sentir en elle

...comme la saveur d'un délicieux champagne

Intense est leur jouissance, dans cette fusion si évidente...

Douce est la main de John sur la cuisse d'Emma
Doux est le plaisir que ressent alors Emma

Vos mots sont toujours magiques, continuez à nous transporter...