samedi 27 avril 2013

Final entre ses bas nylon 6/6


Explosion, un festival de sensation, ce jeu d'ocytocines explosives qui remplissent soudainement la tête mais aussi les muscles, les dernières contractions.

Ce moment si intense, jamais similaire où le corps se relâche après une tension immense, telle une petite mort car seul l'esprit ressent encore le souffle de cette déflagration de coups de coeur, de bonheur quasi absolu, de joie et de jouissance, quant au même instant tous les muscles se bloquent, ou se ramollissent totalement. John avait atteint ce petit nirvana, ce point de non-retour dans l'escalade des plaisirs, tant son cerveau avait pris du plaisir et tel un simple mâle, son sexe avait relâché son sperme chaud, ses muscles, sa virilité gluante.


Il était retenu par les jambes de cette belle, elle demandait encore quelques coups de rein, mais il ne proposait plus que son état second comme une douceur caressante.




Durant les minutes qui suivirent, elle le découvrit, fébrile, presque fragile, tel un homme rassasié et ému par les instants présents, serein d'avoir donné un maximum de caresses, d'avoir attendu sa jouissance à elle avant de se consumer dans une dernière étincelle.


Elle le cajola, discutant de tout, de rien, comprenant toujours mieux qui il pouvait être, complétant le personnage par un visage, au-delà de la description donnée par son amie, par leurs échanges, par ses actes. Elle savourait amplement le personnage, ce gentleman étrange, ce libertin à la commande mais aucunement affamé, cet homme finalement, cet épicurien profondément gourmet.





Ils souriaient, dégustant quelques bulles au passage, croquant des petites choses, se nourrissant de mots, de
leurs approches modernes de ce partage. Les minutes, le temps passait, la nuit était installée, rien ne les touchait. 


Mais dans la nuit, avant le matin, ils recommencèrent, elle voulait qu'il la possède partout, dans tous les bonheurs de ses rondeurs, dans tous les recoins de sa féminité. Intégralement.

Alors il retira le plug gonflable, entre ses fesses, et là doucement, il enfonça un sexe dur. Il avait demandé avant, prévenant que s'il présentait son gland à cet endroit, il ne s'arrêterait qu'au fond d'elle. Écartant la rondelle, glissant de la précédente préparation, forçant avec son gland puis dans l'étroit conduit, s'enfonçant un peu, un peu plus, encore un peu, toujours plus, et la possédant enfin là.





Elle sourit, elle serra les dents, elle le voulait, elle l'eut en elle. Elle frémit entre cette douleur diffuse et ce plaisir nouveau, elle le sentait bien. Son enculage la réjouissait, John lui souriait.




Pour le premier épisode  de cet histoire : 


JohnSteed


5 commentaires:

Ludie a dit…

Delicat jusqu'au mot fin...moi aussi je souris.
Merci pour ces nouveaux bons moments à vous lire.

sandra et mika a dit…

ma lecture matinale m'envahit soudain d'une envie de faire des coquineries ! tu es un magicien de l'image et des mots ! toute cette dentelle et ce noir et blanc ... j'adore ! gros bisous ...

Isa a dit…

Cher JohnSteed

Dès le premier opus de ce récit, j'étais impatiente de connaître la suite. Je pressentais un feu d'artifice de vos mots, offrant à notre lecture et à notre imagination, un bouquet magique et étincelant de sensualité.

Au fur et à mesure des textes, cette impression s'est accentuée et la sensualité explose sous vos mots, une magie toujours si mystérieuse qui trouble vos lecteurs.

Merci à vous pour ce moment, ces mots si bien choisis, comme ces images qui donnent encore plus de tonalités à ce que vous évoquez.

François a dit…

Déjà le clap de fin ? Quel festin !
Bien à vous,
François.

JohnSteed a dit…

@Ludie : Chacune attache son sourire avec ses plaisirs

@Sandra Mika : Adorez les amours, une scène si vraie, si franche, si pénétrante

@Isa : Les plaisirs ici troublent aussi les lectrices...

@François : Le festin est ici en profondeur, en douceur, en câlins